L'univers d'un Thomas

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Ce texte recense mon point de vue et mon expérience vis-à-vis de la série « Monster Hunter » via des jeux auxquels j’ai joué, jeux allant jusqu’à la 4ème génération (grosso-modo jusqu’à la 3DS inclus). Tous jeux qui viennent après me sont donc inconnus, et mon texte peut donc être obsolète, les futurs jeux pouvant beaucoup évoluer et changer comparé à ceux des années 2005-2018.

Stories, Stories 2 et Now sont considérés comme hors-séries, et ne sont donc pas classer par génération. Stories 2 et Now viennent après 2018.


Ce texte est sujet à diverses fautes d’orthographes ou de syntaxes. Veuillez m’en excuser.


Bonne lecture…




Monster Hunter est une série de jeux-vidéo, développés par Capcom (une société japonaise), qui font partis des jeux qui m’ont le plus marqués dans ma vie en 21 ans. Ils représentent une part importante de mon temps de jeu sur console (environ 2250 heures), et pour cause, j’ai beaucoup apprécié découvrir cette série, malgré quelques mauvais souvenirs quand même.


Pour expliquer un peu le fonctionnement de ces jeux, nous incarnons un chasseur qui chasse des monstres divers et variés pour récupérer leurs matériaux, composants (avec différents taux de chances d’obtenir les composants en question) et nous confectionnons des équipements (armes et armures) avec des caractéristiques du monstre. Dans ces jeux, il n’y a pas que la chasse, il y aussi la récolte de matériaux (végétaux, minerais, …) qui ont divers fonctions (création d’objets de soins, de munitions pour les artilleurs, d’équipements, …). Pour affronter les bestioles, nous disposons de tout une variété d’armes aux fonctionnalités qui leur sont propres et au style de jeu différent.

Le jeu progresse en 3 niveaux de difficulté : le bas rang (où les monstres sont au plus faible de leur niveau), le haut rang (où les statistiques des monstres augmentent, ils débloquent de nouveaux mouvements et de nouveaux monstres font leur apparition) et le rang G (qui est le plus haut niveau de difficulté, les monstres augmentent encore leurs statistiques, débloquent encore de nouvelles capacités et de nouveaux monstres apparaissent de nouveau). Entre le bas rang et le rang G, il y a un GRAND écart.

Les missions dans ces jeux sont des quêtes. Il y en a qui sont uniquement pour du solo, mais certaines sont aussi disponible pour du multijoueur (local ou par Internet, jusqu’à 4 joueurs). Pour chaque quête, les joueurs ont droit à 3 morts pour l’ensemble du groupe, ainsi qu’à une limite de temps. Si les 3 morts sont atteintes ou le délai dépassé, la quête est perdue.

La monnaie du jeu est nommée « Zenny » et est utilisée pour acheter des ressources ou consommables, créer et améliorer des équipements ou encore pour participer à une quête.

Il y a tout un système de talents (positif ou négatif) et d’éléments (feu, eau, glace, …) qui rentrent en compte dans ces jeux, en plus de plusieurs autres facteurs pour les dégâts (qui ne sont pas affichés lorsque que l’on combat les monstres, puisque dans la vraie vie des chiffres n’apparaissent pas de nulle part quand on tape quelque chose).

Les jeux disposent d’un vocabulaire assez enrichi, de beaux paysages et de musiques travaillées ainsi que d’un gros travail sur les monstres.

Malgré le fonctionnement du jeu assez répétitif (mais différent à chaque monstres et lieux) il y a quand même une histoire principale (mais généralement c’est « il faut tels matériaux, tue (ou capture) tel monstre », ou « un monstre nous attaque, tue-le, tout le monde compte sur toi »).

Les jeux mettent aussi à disposition des statistiques sur votre jeu, ou encore des informations sur les différentes créatures de ce monde.

Bon, je crois que j’ai fait le tour pour résumer grossièrement.


Mon premier jeu Monster Hunter remonte à fin juillet 2018 (avec la démo c’est fin mars 2018) avec Monster Hunter Stories pour 3DS. À cette époque je ne connaissais pas du tout Monster Hunter, j’étais plus dans les jeux Pokémon. Je ne sais plus comment j’ai découvert Stories, mais de ce que j’en avais lu, il était assez proche d’un jeu Pokémon, ce qui m’a attiré. J’ai eu ce jeu par suite d’une opération des dents de sagesses et de mon brevet des collèges. Étant donné que ça remonte à un peu loin, j’ai peu de souvenirs de quand j’y jouais, si ce n’est que je me rappelle que mon frère était présent lors de mes parties. Généralement, je progressais d’un « environnement » (terme que j’invente, entendre par là une zone donnée) à un autre. Stories ne fait pas parti des jeux principaux de Monster Hunter, car il n’a pas la même essence. Dans ce jeu aux graphismes plus enfantins, nous domptons les monstres en allant récupérer leurs œufs. Les combats se font sur du tour par tour (le joueur avec son monstre attaque, puis c’est au tour du (des) monstre(s) adverse(s)), tout en ayant une histoire plus approfondie et plus enrichie que dans les jeux classiques. C’est un jeu que j’ai beaucoup apprécié, et j’ai continué d’y jouer régulièrement quand j’étais en vacances, cherchant à accomplir mes objectifs personnels. Stories était un jeu qui m’a donné un semblant de liberté : je me rappelle voler sur un de mes monstres et être en quelque sorte libre, libre de voir tout le paysage en-dessous de moi, de ne pas avoir de frontière (c’est à dire de rochers qui bloquent ou de surélévations). Après ce jeu n’est pas un open world, il existe bien d’autres jeux qui possèdent vraiment ces fonctions de liberté totale (puisque dans Stories « l’environnement » est quand même délimité). Ce que j’aurais beaucoup aimé dans ce jeu, c’est de corriger certains bugs déjà, mais aussi que nous, occidentaux, ayons accès à la mise à jour japonaise, permettant notamment de dompter de nouveaux monstres, pour le coup intéressant. Mais bon, les créateurs du jeu peuvent bien avoir des privilèges. C’est vrai que Stories était plus proche d’un jeu Pokémon qu’un jeu classique Monster Hunter.


Et puis ayant aimé Stories, je me suis penché sur le cas d’un jeu de la série classique de Monster Hunter : Monster Hunter Freedom Unite, pour PSP. Unite est considéré comme un des jeux Monster Hunter les plus durs, et pour le coup je ne suis vraiment pas allé loin, pas au-delà du haut rang. Étant donné la console (une PSP sans Internet) et mon lieu là où j’y jouais (à l’internat lors de mes études) je ne disposais pas du multijoueur.


Mais malgré mes difficultés, ça ne m’a pas empêché de m’intéresser à 2 jeux plus récents de Monster Hunter : Monster Hunter 4 Ultimate et Monster Hunter Generations, tous deux pour 3DS. Vu les avis sur Internet, 4 Ultimate était à privilégier comparé à Generations. Étant donné que des démos de ces 2 jeux étaient disponibles, mon frère et moi les avions téléchargés avec nos 3DS respectives. Je me rappelle encore mes premières impressions quand nous affrontions le Grand Jaggi (littéralement le monstre le plus nul de tout le jeu) et quand ce dernier boitait (signe qu’il est proche de mourir). Je me disais « Non, ce jeu n’est pas fait pour moi, je ne veux pas le tuer ». Bon, vu qu’on allait gagner, nous l’avons éliminé et voilà. Et nous avons continué mon frère et moi, avec les 2 autres monstres disponibles dans la démo. Le Tetsucabra, monstre intermédiaire, est celui que j’ai préféré puisqu’il permet de combattre un peu plus longtemps, sans être aussi difficile que le Gore Magala, monstre le plus dur de la démo (d’ailleurs je crois que seul mon frère a réussi à le battre).

J’ai finalement eu 4 Ultimate au début d’avril 2019. Pour pouvoir profiter de 4 Ultimate avec mon frère, je l’ai incité à ce qu’il achète le jeu lui aussi, pour pouvoir faire du multijoueur. Comme pour Stories, je ne me rappelle plus mes impressions au début du jeu, si ce n’est que mon frère et moi étions un peu en compétition pour celui qui progressera le plus rapidement possible.

Semblable à tous ces jeux imaginaires que moi et mon frangin avons inventé, nous avons créé une nouvelle histoire où nous incarnions les monstres qui se rendaient compte de notre progression de chasseur (dans le jeu vidéo) et nous inventions leurs relations et leurs histoires.

Et puis à force, mon frère a fini par se désintéresser de 4 Ultimate, notamment parce que parfois il faut attendre longtemps pour que des personnes se joignent à notre quête en multijoueur, car le rang G tout seul, c’est difficilement réalisable (à cette époque pour nous). Moi de mon côté j’avais un bien meilleur équipement que lui, et plus d’expérience de jeu. Mais pas pour autant plus de capacité à jouer au jeu. La vérité, c’est que je jouais exclusivement artilleur en mode multijoueur, tout simplement pour rester à distance des monstres et laisser les autres joueurs attaquer le monstre avec leurs équipements au corps à corps bien plus efficaces que le mien. Mais malgré les précautions que je prenais, je mourrais quand même assez régulièrement, faisant perdre la quête à mes coéquipiers. En solo je jouais avec la « Grande Épée », une arme au corps à corps, mais il m’arrivait aussi souvent d’échouer. Et tout seul, je ne pouvais pas faire toutes les quêtes. C’est sur 4 Ultimate que j’ai joué le plus en 1 mois avec 10 heures de console par jours. Puis j’ai fini par moi aussi arrêter ce jeu. Trop de difficulté, un poids pour l’équipe.


Pour Generations, j’y ai joué vers fin avril, probablement reçu donc pour mon anniversaire. Comparé à 4 Ultimate, Generations était sur le second plan. En conformité avec les critiques du public, je l’ai en effet moins apprécié que 4 Ultimate, et je suis allé encore moins loin. Pour le coup, je trouve que l’ambiance du multijoueur était moins bonne, moins agréable. Dans 4 Ultimate, les salons où se réunissaient les joueurs en multijoueur ne pouvaient pas être renommés. Dans Generations si, ce qui amenait parfois à des propos un peu limite. Generations avait aussi plus de quêtes que 4 Ultimate, notamment plus de quêtes de récoltes qui ne servaient pas à grand-chose, mais qui étaient nécessaires pour valider toutes les missions. Comme pour 4 Ultimate, je jouais artilleur en multijoueur, et je mourrais quand même. Donc je ne suis pas resté longtemps sur Generations.


Et puis j’ai joué aussi à Monster Hunter 3 Ultimate, sur 3DS, qui vient avant 4 Ultimate et Generations dans l’ordre de parution. Je l’ai reçu fin avril 2020, surement à mon anniversaire donc. Il ne m’attirait pas particulièrement, jusqu’à ce que je lise sur un forum que, pour quelqu’un, « 3 Ultimate c’est la base ». Il m’a juste fallu lire ça pour me dire qu’il faut que je l’aie. Oui je sais, je suis facilement influençable. 3 Ultimate a une particularité que 4 Ultimate et Generations n’ont pas, ce sont les combats sous l’eau. 3 Ultimate se porte vraiment sur un environnement plus aquatique, la ville est construite sur l’eau et l’histoire se base sur des monstres marins. Bon, en vérité, les monstres qui se combattent sous l’eau sont inférieurs en nombre que ceux qui se combattent uniquement sur la terre ferme. Mais ce n’est pas un point négatif pour autant. Je préfère combattre sur pieds que dans l’eau. Enfin bref, pour 3 Ultimate, ma progression dans ce jeu s’est faite en 2 temps. Ce qu’il faut savoir, c’est que le mode multijoueur par Internet n’était pas disponible (je ne sais plus la raison). Je savais donc que je jouerais en solo, du début à la fin, même pour les quêtes de plus hauts niveaux. Niveau arme, je ne joue que la Grande Épée, pas le Fusarbalète léger (arme d’artilleur que j’utilisais autrefois). Comme je le disais, ma progression s’est faite sur 2 temps. Pour le premier temps, eh ben je vais plus loin que ce que je pensais. J’accède même au rang G, chose que je croyais peu probable tout seul. Mais quand je jouais à ce jeu, c’était à fond quoi, ce qui a fait qu’un moment, ben j’en ai eu marre. Je progressais dans le jeu, même très bien. Je venais de réussir une quête assez difficile, et je savais que pour progresser davantage, il faudrait que j’améliore mon arme, mais il me fallait des matériaux des monstres de la même quête que je venais de réussir. Sauf que, la quête était tellement dure, et j’en avais assez marre de Monster Hunter, que j’ai décidé d’arrêter. Je voulais une pause. 1 an est passé sans jouer à 3 Ultimate. Puis fin mai 2022, contre toute attente, je reprends ce jeu. Je recommence la même quête en boucle, jusqu’à obtenir les éléments manquants. C’est une des bases de Monster Hunter, le farme, le fait de recommencer plusieurs fois la même quête pour obtenir les composants dont nous avons besoin, puisque certains ont des taux d’obtention assez bas. Une fois les composants récupérés, je reprends les quêtes où je m’étais arrêté. Je continu ma progression dans le rang G, et je vais jusqu’à réussir des quêtes de plus en plus difficiles pour mon niveau. J’arrive à battre le Dire Miralis, un monstre de fin de jeux de rang G, ainsi que l’Alatreon du village, dernière quête du village. Mais ces quêtes n’ont pas été réussi avec aisance, ce qui fait que je n’arrivais pas à progresser plus loin, et de nouveau j’en ai eu marre. Mais j’étais allé plus loin que ce que j’aurais cru, et tout seul en plus, c’est ça qui est le plus marquant. J’arrête donc de nouveau 3 Ultimate, mais plus paisiblement.


Même si pendant un temps je voulais avoir Monster Hunter Generations Ultimate (qui ajoute le rang G à Generations), finalement, ce n’est plus le cas.


Les jeux de la série principale, c’est fini. Mais il reste encore 2 jeux à aborder. Dès sa sortie en septembre 2023, j’installe l’application Monster Hunter Now sur mon téléphone, le Pokémon GO version chasse aux monstres. Jouant déjà à Pokémon GO et ayant beaucoup apprécié Monster Hunter, j’accroche au départ assez bien à Now. Mais ce jeu nécessite vraiment un téléphone performant, et les lags et le temps perdus à cause de ralentissements se font vraiment ressentir lors de combats contre des monstres plus forts ou utilisant beaucoup de données (notamment pour certains monstres comme le Zinogre ou les Interception du dragon ancien). C’est justement vers cette époque (août 2024) où je désinstalle le jeu. Now est un jeu qui reste intéressant, à condition d’avoir un téléphone vraiment performant, pour éviter les lags, disposer des photos AR et éviter la surchauffe du téléphone.


Enfin, pour mon anniversaire des 21 ans (en avril 2024, donc pendant Now), je reçois la suite de Stories 1, Monster Hunter Stories 2 : Wings of Ruin, qui reprend le même concept que son prédécesseur. Stories 2 est actuellement le seul jeu de la série Monster Hunter auquel je joue actuellement. Et je ne souhaite pas en commencer d’autres, Stories 2 prenant déjà beaucoup d temps. De même, si un Stories 3 venait à sortir un jour, je pense que je ne l’achèterais pas, tellement les Stories sont longs (mais également intéressants).


Mais alors qu’est-ce qui fait que j’ai autant apprécié les jeux Monster Hunter ? Ce ne sont pas les combats, mais plutôt les monstres en question. Leurs physiologies, capacités, originalités et biologies. Parce que contrairement aux Pokémon, les monstres de Monster Hunter ont vraiment un côté réaliste. Le vocabulaire employé, la logique mise en avant, les interactions propres aux monstres avec leurs corps ou leurs environnements. Pokémon n’a pas du tout ce côté réaliste, à la différence de Monster Hunter.

Le Grand Jaggi par exemple, est la version adulte des Jaggi et Jaggia, et c’est celui qui bat les autres Grand Jaggi qui devient le chef de la meute. De par son rugissement, le Grand Jaggi donne des ordres aux Jaggi et Jaggia.

Le Tetsucabra, un grand amphibien avec de grandes défenses qu’il utilise pour écraser ses proies ou soulever de gros rochers pour ensuite les projeter, s’en servir comme bouclier ou les écraser en provoquant des éclats. Il est aussi capable de cracher un fluide visqueux de sa gueule, ou encore de faire de grands sauts.

Le Gore Magala, le monstre phare de Monster Hunter 4 (donc pas la version Ultimate, donc sans le rang G). Créature sombre et aveugle qui répand ses écailles comme du pollen, provoquant également un virus pouvant infecter d’autres monstres les rendant encore plus dangereux. Il est aussi capable de changer de « mode » et de devenir beaucoup plus agressif et agile. Enfin, quand il grandit et mue, il change de forme pour devenir doré et lumineux et contrôler son virus parfaitement.


Il y a plein d’autres exemples comme ça, des monstres qui vivent en symbiose avec des insectes, d’autres monstres sont géants, d’autres « nagent » dans le sable, volent, et beaucoup d’autres quoi.

Comme je le disais les musiques sont travaillées, tous les lieux et monstres ont une musique. Mais certains monstres ont leur propre thème, leur donnant une identité musicale. Plusieurs des musiques de mon téléphone proviennent justement de jeux Monster Hunter.


Un autre point que j’apprécie est que tous les monstres de plus hauts niveaux ne sont pas forcément de la même espèce. En fait, comme dans la vraie vie, les êtres vivants sont classés par espèce en fonction de leurs particularités. Et parmi les classifications d’espèces se trouve la classe « Dragons anciens ». Son nom est trompeur, car il ne regroupe pas seulement de vieux dragons. Il faut plutôt voir ce nom comme un titre à l’effigie des monstres les plus forts, les plus dangereux. Ainsi, sera classé dans cette catégorie des licornes par exemples, ou des serpents géants, ou un Godzilla de magma. Mais tous les monstres de fin de jeux ne sont pas forcément des Dragons anciens, et c’est ça que j’apprécie (bien que ce soient majoritairement des Dragons anciens). Certains monstres n’ayant pas ce « titre » sont donc capable de rivaliser avec les plus forts (Rajang et Deviljho pour les connaisseurs).


Un autre point que j’apprécie est que les monstres peuvent être « abimés ». À force de donner des coups via des armes ou des impacts de tirs sur les monstres, vous pouvez briser voire couper (avec des armes tranchantes) certaines parties du corps des monstres. Couper la queue pour la récolter, casser des cornes, endommager la peau, trouer les ailes, et ainsi, récupérer des composants exclusifs aux parties altérer. Il faut donc, parfois, pour améliorer ou créer un équipement, se concentrer sur une partie du monstre en particulier, et non attaquer à l’endroit le plus à l’abri des attaques de la bête.


Appréciant grandement les efforts portés sur les monstres, je ne me suis pas pour autant renseigné sur les nouveaux monstres qui sont sortis dans des jeux post 4ème génération. Ma période c’est surtout centré autour de la 3 DS, et je suis sûr que dans des jeux plus récents, un travail encore plus sérieux à dû être fait sur les monstres.


Dans tous les cas, c’est une série que j’ai beaucoup aimé, et qui m’a fait vivre justement plusieurs émotions. C’est assez frustrant d’échouer à une quête, surtout si c’est par le temps, alors qu’il restait peu de vie au monstre. Ce jeu demande pas mal de concentration. En fait, chaque monstre à un « pattern » (ses codes informatiques symbolisant ses attaques et mouvements). Et le meilleur moyen de réussir à tuer ces bêtes le plus rapidement possible est d’apprendre le pattern de chaque monstre. Connaître la position exacte de chaque déplacement et attaques pour pouvoir se placer et attaquer au bon moment en toute sécurité. On ne dirait pas comme ça, mais ce n’est pas du tout facile. Par exemple, la Grande Épée peut avoir 3 niveaux de charge qui infligent plus ou moins de dégâts. Pour la charger, le chasseur maintient l’arme en hauteur (il est donc vulnérable), et l’arme va prendre différentes teintes (et émettre différents sons) indiquant le niveau de charge. Mais une fois que l’arme a atteint la charge de niveau 3, si elle n’est pas utilisée dès que la charge se fait, elle perd sa charge et vous donnez un coup, moins puissant donc et vous être vulnérable car en phase d’attaque. Le temps de chargement et d’attaque est donc délimité dans le temps. Et les meilleurs joueurs de Monster Hunter se placent parfois dans le vide et commencent à charger, parce qu’ils savent que lorsque le niveau 3 est atteint, le joueur sera placé juste à côté de la tête du monstre, permettant d’infliger le maximum de dégâts. Autant dire que je suis à des années lumières de ce niveau.

25/04/2025


Pour illustrer plus visuellement mes propos, je mets quelques images de monstres pour démontrant un peu la variété des créatures. C’est une liste non exhaustive, chaque monstre est différent, certains avec des ressemblances quand même, mais pas totalement identique. Ces images ont été trouvées sur Internet.

Bnahabra

Ceadeus

Dalamadur Shah

Gobul

Gore Magala

Hermitaur Daimyo

Khezu Grenat

Kirin

Konchu

Lala Barina *

Melynx

Rajang

Vaal Hazak *

Yama Tsukami *

Zorah Magdaros *

* Ces monstres-ci, je ne les ai jamais combattus. Je les ai tout de même ajouté à la gallerie pour illustrer la variété parmi les créatures de cette saga.